Je viens de terminer ce pavé, La Vérité sur l’affaire Harry Quebert, de l’écrivain suisse Joël Dicker, prix Goncourt des Lycéens 2012. Un jeune écrivain en panne d’inspiration va retrouver son mentor, écrivain célèbre accusé du meurtre d’une jeune fille de 15 ans, dont on vient de retrouver les ossements plus de 30 ans après les faits, le tout dans une petite ville du New Hampshire. Récit peu évident à suivre au départ, mais la persévérance paie : le roman est extrêmement bien construit et le suspense reste entier jusqu’au bout.
Je n’avais pas fait attention à la couverture, juste en jetant un coup d’oeil rapide, je savais que c’était un tableau d’Edward Hopper. Mais aujourd’hui, en allant au DeYoung Museum, un des musées d’art de San Francisco, voilà ce que je vois :
je ne connais pas cet auteur dis donc !!
effectivement drôle de coïcidence.
a++
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